à propos d'un nouveau..... (star ou film ou évenement)
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à propos d'un nouveau..... (star ou film ou évenement)
le parcours extraordinaire d'un nouvel homme d'affaire tunisien
Un nouvel homme d’affaires est né. Le type de businessmen qu’on voit naître tous les jours aux États-Unis, tous les mois en Europe et très rarement en Tunisie.Sami Fehri, ce jeune qu’on a découvert sur les ondes de RTCI (Radio Tunis Chaîne Internationale) à la fin des années 1990.
Originaire de la Marsa (banlieue chic de Tunis), né un 7 novembre 1971 (ça ne s’invente pas !) et père de deux filles, Sami Fehri entame son parcours médiatique à la fin des années 1990 comme simple animateur sur RTCI. Ses émissions, dans un français parfait, séduisent les fans du rock, les nostalgiques du classique et les fleurs bleues amoureuses des balades romantiques. Pas évident !
Le jeune est ambitieux. Il constate très tôt que les talents sont rapidement bridés dans ce Studio 1 de RTCI, bureaucratie de l’ERTT oblige ! Il fallait voir ailleurs pour démontrer son savoir-faire et ses connaissances. Ailleurs, ce n’est pas très loin, c’est la porte à côté : Tunis 7 et Canal 21. Il propose une émission de jeux qui ne cartonne nullement (similaire au défunt Maillon faible de Laurence Boccolini sur la chaîne française TF1). Ce flop ne le démotive pas pour autant. Il enregistre ce qui ne va pas et rectifie le tir en prenant en considération les expériences des chaînes européennes à succès. Parmi les constats, il pense que l’ERTT devrait être un organe diffuseur et ne peut être également organe producteur. Il crée sa société unipersonnelle Cactus productions et propose des émissions à la télévision tunisienne, unique diffuseur dans le pays.
Sa première émission sera "le monde du web".Un succès, bien qu’il soit relatif. L’expérience lui permet surtout de savoir comment trouver des annonceurs et des sponsors pour financer une production. Toujours ambitieux, il rêve d’une émission grandiose, à l’instar de ce qui se fait en Grande Bretagne, en Italie, en France, en Espagne. Avec le petit pécule amassé par sa première production, il vole vers Amsterdam là où siège Endemol, l’une des plus grosses boites de concepts d’émissions du monde. Il négocie les droits de "Akher Qarar" et les achète avec toutes ses économies. Pour le jeune parti sans le sou, ces droits de plusieurs dizaines de milliers de dinars représentent déjà un gros pactole. Les droits à eux seuls ne font cependant pas l’émission, puisqu’il faut des moyens mille fois plus importants pour financer la production.
il prend son bâton de pèlerin et frappe à la porte des banquiers. On lui rit au nez. Le banquier tunisien n’a pas encore la folie de ses homologues européens (ou américains) pour financer les idées d’un jeune producteur télé. Il frappe à la porte des Sicars. Il constate rapidement que celles-ci ne portent que le nom et sont frileuses aux risques. Pas d’hypothèque, pas de garantie, pas de financement. Ainsi est la mentalité chez les financiers de Tunisie.
Sami panique, car il a des deadline à respecter s’il ne veut pas perdre les droits d’Endemol, acquis avec ses économies. Dernière cartouche, les investisseurs privés. Même déception, jusqu’à ce qu’il rencontre quelqu’un acceptant de lui faire confiance et de lui accorder le financement nécessaire.
Qui ? Ceux que nous avons contactés refusent de nous le dire. L’information est pourtant publique, c’est le groupe Karthago de l’homme d’affaires tunisien Belhassen Trabelsi. On la trouve sur le site internet du groupe. Une excellente preuve du pari de ce groupe dans les jeunes talents tunisiens.
Cactus Prod, créée le 1er janvier 2002 pour réaliser des émissions de divertissement destinées à un large public, renaît de ses cendres.
Un an plus tard, "Akher Qarar" est diffusée sur Tunis 7 et connait, de 2003 à 2005, un succès sans précédent, en réalisant des parts de marché dépassant les 80%. C’est la première fois que sont proposés à la télévision tunisienne des gains de 200.000 dinars avec, en prime, une voiture flambant neuve.
2005, Sami (via Cactus) acquiert les droits d’une autre émission à grand succès : Deal Or No Deal. L’émission est fort connue en Tunisie puisqu’elle est diffusée sur TF1 par Arthur (à prendre ou à laisser). Un Arthur qui témoignera, plus tard, que Fehri a été meilleur que lui dans l’animation de l’émission
Comme "Akher Qarar", l’émission (qui a pris le nom de "Dlilek Mlek") démarre en trombe avec, en prime, une cagnotte de 300.000 dinars, que se partagent le candidat sur le plateau et un téléspectateur tiré au sort par l’entremise du SMS. Des records d’audimat et de parts de marché avoisinant les 90% ont été atteints, là aussi. Le pactole est des plus importants au vu des très importantes recettes générées par la publicité et par les SMS. Tout le monde y a trouvé son compte : Tunis 7 qui a réussi à redorer son blason auprès de ses téléspectateurs (partis vers les chaînes étrangères) avec une émission qui lui a coûté zéro dinar, les participants à l’émission qui ont gagné des millions dont ils ne rêvaient pas, Tunisie Telecom qui a récupéré (en exclusivité) une partie de ces recettes générées par les SMS et, naturellement Sami Fehri et Cactus. Dans cette histoire, Sami Fehri a réussi l’exploit de gagner et de faire gagner des millions à tout le monde.
Il n’y a pas que des succès, l’échec peut également être au rendez-vous, comme dans toute création. Ce sera le cas de l’émission "Seul contre 100", diffusée en prime time par Farah Berrjeb.
Le succès est par ailleurs mitigé avec "Ahna hakka", présentée par Nizar Châari, bien qu’il soit important de noter que cette émission est diffusée en access prime time (19-20) et a réalisé un record absolu d’audience durant cette tranche horaire.
La grande nouveauté de 2008 est cependant le feuilleton "Mektoub", diffusée durant le mois de ramadan. Sami Fehri entreprend une nouvelle expérience. Il n’est plus animateur, mais producteur et réalisateur. Cette première expérience sera un succès. Très rares sont les réalisateurs au monde qui peuvent se targuer d’un tel résultat lors de leur premier coup d’essai.
C’est quelqu’un qui bouleverse les habitudes de la profession, mais aussi de la fiction télévisuelle en Tunisie. Pour la première fois dans l’histoire de la télévision tunisienne, on "ose" aborder clairement des tabous, tels les mariages mixtes avec des personnes de couleur, la drogue, les mères célibataires… C’est la première fois aussi qu’on fait un zoom sur les riches et les nouveaux riches du pays et leur manière de vivre en 2008. Il faut dire que Sami Fehri a su s’entourer d’un certain Tahar Fazâa qui a pu se donner à cœur joie sans la "censure" ou l’ "autocensure" auxquelles il était habitué. On ne manquera pas de noter enfin cette chance donnée à de nouvelles figures qui ont toujours trouvé face à eux des refus de la part de réalisateurs quinquagénaires qu’on voit chaque année à la télé.
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’on voulait programmer le feuilleton vers 23 heures. Timing qui aurait fait échouer le projet financé exclusivement par Cactus. Ce qui n’a pas été dit, c’est que la télé tunisienne n’a pas acheté ou financé la production (contrairement à ses autres émissions), mais les diffuse sans avoir déboursé un millime. En contrepartie, et pour se financer, Cactus récolte les recettes des spots publicitaires diffusés pendant, juste avant et juste après le feuilleton. Quel annonceur aurait accepté de diffuser ses spots à 23 heures ? Autre polémique déclenchée, la coupure au milieu du feuilleton pour diffuser des spots publicitaires. Très rares sont ceux qui ont apprécié cette coupure sur une chaîne publique récupérant son budget à partir de prélèvements publics obligatoires.
Après cette première expérience et pour consolider ses acquis, Sami Fehri continue à acquérir les droits d’émission à droite et à gauche.
Le grand succès fort attendu de 2009 sera l’émission "Sans aucun doute" que présentera Moez Ben Gharbia. Cactus Prod a également acheté les droits de l’émission "Cé Posta Per Té" ou "Y a Que La Vérité Qui Compte" de Magnolia, la société de production italienne propriétaire du concept. Il s’agit d’une émission à caractère social où des gens invitent des proches sur le plateau pour leur faire une déclaration importante. Elle était diffusée sur TF 1 et présentée par Bataille et Fontaine.
Autre projet de Sami Fehri, une émission pour enfants est prévue avec des droits acquis auprès d’Endemol International. Il s’agit de "Mini Play-back Show", une émission de divertissement ou des enfants âgés de 6 à12 ans imitent les stars de la chanson internationale.
A court terme, la société compte diversifier davantage ses projets en produisant des variétés de grand divertissement appelés les "talent shows" dont la fameuse série "Idol" ou "La Nouvelle Star" acquise auprès de Fremantle Media.Au vu de tout ce programme, et si en 2008, on parle encore de parcours, tout indique qu’on va bientôt parler de la saga de Sami Fehri. Un Sami Fehri en vacances (dans un pays lointain) à distance du bruit et des coins habituels des animateurs, journalistes et hommes de culture
Un nouvel homme d’affaires est né. Le type de businessmen qu’on voit naître tous les jours aux États-Unis, tous les mois en Europe et très rarement en Tunisie.Sami Fehri, ce jeune qu’on a découvert sur les ondes de RTCI (Radio Tunis Chaîne Internationale) à la fin des années 1990.
Originaire de la Marsa (banlieue chic de Tunis), né un 7 novembre 1971 (ça ne s’invente pas !) et père de deux filles, Sami Fehri entame son parcours médiatique à la fin des années 1990 comme simple animateur sur RTCI. Ses émissions, dans un français parfait, séduisent les fans du rock, les nostalgiques du classique et les fleurs bleues amoureuses des balades romantiques. Pas évident !
Le jeune est ambitieux. Il constate très tôt que les talents sont rapidement bridés dans ce Studio 1 de RTCI, bureaucratie de l’ERTT oblige ! Il fallait voir ailleurs pour démontrer son savoir-faire et ses connaissances. Ailleurs, ce n’est pas très loin, c’est la porte à côté : Tunis 7 et Canal 21. Il propose une émission de jeux qui ne cartonne nullement (similaire au défunt Maillon faible de Laurence Boccolini sur la chaîne française TF1). Ce flop ne le démotive pas pour autant. Il enregistre ce qui ne va pas et rectifie le tir en prenant en considération les expériences des chaînes européennes à succès. Parmi les constats, il pense que l’ERTT devrait être un organe diffuseur et ne peut être également organe producteur. Il crée sa société unipersonnelle Cactus productions et propose des émissions à la télévision tunisienne, unique diffuseur dans le pays.
Sa première émission sera "le monde du web".Un succès, bien qu’il soit relatif. L’expérience lui permet surtout de savoir comment trouver des annonceurs et des sponsors pour financer une production. Toujours ambitieux, il rêve d’une émission grandiose, à l’instar de ce qui se fait en Grande Bretagne, en Italie, en France, en Espagne. Avec le petit pécule amassé par sa première production, il vole vers Amsterdam là où siège Endemol, l’une des plus grosses boites de concepts d’émissions du monde. Il négocie les droits de "Akher Qarar" et les achète avec toutes ses économies. Pour le jeune parti sans le sou, ces droits de plusieurs dizaines de milliers de dinars représentent déjà un gros pactole. Les droits à eux seuls ne font cependant pas l’émission, puisqu’il faut des moyens mille fois plus importants pour financer la production.
il prend son bâton de pèlerin et frappe à la porte des banquiers. On lui rit au nez. Le banquier tunisien n’a pas encore la folie de ses homologues européens (ou américains) pour financer les idées d’un jeune producteur télé. Il frappe à la porte des Sicars. Il constate rapidement que celles-ci ne portent que le nom et sont frileuses aux risques. Pas d’hypothèque, pas de garantie, pas de financement. Ainsi est la mentalité chez les financiers de Tunisie.
Sami panique, car il a des deadline à respecter s’il ne veut pas perdre les droits d’Endemol, acquis avec ses économies. Dernière cartouche, les investisseurs privés. Même déception, jusqu’à ce qu’il rencontre quelqu’un acceptant de lui faire confiance et de lui accorder le financement nécessaire.
Qui ? Ceux que nous avons contactés refusent de nous le dire. L’information est pourtant publique, c’est le groupe Karthago de l’homme d’affaires tunisien Belhassen Trabelsi. On la trouve sur le site internet du groupe. Une excellente preuve du pari de ce groupe dans les jeunes talents tunisiens.
Cactus Prod, créée le 1er janvier 2002 pour réaliser des émissions de divertissement destinées à un large public, renaît de ses cendres.
Un an plus tard, "Akher Qarar" est diffusée sur Tunis 7 et connait, de 2003 à 2005, un succès sans précédent, en réalisant des parts de marché dépassant les 80%. C’est la première fois que sont proposés à la télévision tunisienne des gains de 200.000 dinars avec, en prime, une voiture flambant neuve.
2005, Sami (via Cactus) acquiert les droits d’une autre émission à grand succès : Deal Or No Deal. L’émission est fort connue en Tunisie puisqu’elle est diffusée sur TF1 par Arthur (à prendre ou à laisser). Un Arthur qui témoignera, plus tard, que Fehri a été meilleur que lui dans l’animation de l’émission
Comme "Akher Qarar", l’émission (qui a pris le nom de "Dlilek Mlek") démarre en trombe avec, en prime, une cagnotte de 300.000 dinars, que se partagent le candidat sur le plateau et un téléspectateur tiré au sort par l’entremise du SMS. Des records d’audimat et de parts de marché avoisinant les 90% ont été atteints, là aussi. Le pactole est des plus importants au vu des très importantes recettes générées par la publicité et par les SMS. Tout le monde y a trouvé son compte : Tunis 7 qui a réussi à redorer son blason auprès de ses téléspectateurs (partis vers les chaînes étrangères) avec une émission qui lui a coûté zéro dinar, les participants à l’émission qui ont gagné des millions dont ils ne rêvaient pas, Tunisie Telecom qui a récupéré (en exclusivité) une partie de ces recettes générées par les SMS et, naturellement Sami Fehri et Cactus. Dans cette histoire, Sami Fehri a réussi l’exploit de gagner et de faire gagner des millions à tout le monde.
Il n’y a pas que des succès, l’échec peut également être au rendez-vous, comme dans toute création. Ce sera le cas de l’émission "Seul contre 100", diffusée en prime time par Farah Berrjeb.
Le succès est par ailleurs mitigé avec "Ahna hakka", présentée par Nizar Châari, bien qu’il soit important de noter que cette émission est diffusée en access prime time (19-20) et a réalisé un record absolu d’audience durant cette tranche horaire.
La grande nouveauté de 2008 est cependant le feuilleton "Mektoub", diffusée durant le mois de ramadan. Sami Fehri entreprend une nouvelle expérience. Il n’est plus animateur, mais producteur et réalisateur. Cette première expérience sera un succès. Très rares sont les réalisateurs au monde qui peuvent se targuer d’un tel résultat lors de leur premier coup d’essai.
C’est quelqu’un qui bouleverse les habitudes de la profession, mais aussi de la fiction télévisuelle en Tunisie. Pour la première fois dans l’histoire de la télévision tunisienne, on "ose" aborder clairement des tabous, tels les mariages mixtes avec des personnes de couleur, la drogue, les mères célibataires… C’est la première fois aussi qu’on fait un zoom sur les riches et les nouveaux riches du pays et leur manière de vivre en 2008. Il faut dire que Sami Fehri a su s’entourer d’un certain Tahar Fazâa qui a pu se donner à cœur joie sans la "censure" ou l’ "autocensure" auxquelles il était habitué. On ne manquera pas de noter enfin cette chance donnée à de nouvelles figures qui ont toujours trouvé face à eux des refus de la part de réalisateurs quinquagénaires qu’on voit chaque année à la télé.
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’on voulait programmer le feuilleton vers 23 heures. Timing qui aurait fait échouer le projet financé exclusivement par Cactus. Ce qui n’a pas été dit, c’est que la télé tunisienne n’a pas acheté ou financé la production (contrairement à ses autres émissions), mais les diffuse sans avoir déboursé un millime. En contrepartie, et pour se financer, Cactus récolte les recettes des spots publicitaires diffusés pendant, juste avant et juste après le feuilleton. Quel annonceur aurait accepté de diffuser ses spots à 23 heures ? Autre polémique déclenchée, la coupure au milieu du feuilleton pour diffuser des spots publicitaires. Très rares sont ceux qui ont apprécié cette coupure sur une chaîne publique récupérant son budget à partir de prélèvements publics obligatoires.
Après cette première expérience et pour consolider ses acquis, Sami Fehri continue à acquérir les droits d’émission à droite et à gauche.
Le grand succès fort attendu de 2009 sera l’émission "Sans aucun doute" que présentera Moez Ben Gharbia. Cactus Prod a également acheté les droits de l’émission "Cé Posta Per Té" ou "Y a Que La Vérité Qui Compte" de Magnolia, la société de production italienne propriétaire du concept. Il s’agit d’une émission à caractère social où des gens invitent des proches sur le plateau pour leur faire une déclaration importante. Elle était diffusée sur TF 1 et présentée par Bataille et Fontaine.
Autre projet de Sami Fehri, une émission pour enfants est prévue avec des droits acquis auprès d’Endemol International. Il s’agit de "Mini Play-back Show", une émission de divertissement ou des enfants âgés de 6 à12 ans imitent les stars de la chanson internationale.
A court terme, la société compte diversifier davantage ses projets en produisant des variétés de grand divertissement appelés les "talent shows" dont la fameuse série "Idol" ou "La Nouvelle Star" acquise auprès de Fremantle Media.Au vu de tout ce programme, et si en 2008, on parle encore de parcours, tout indique qu’on va bientôt parler de la saga de Sami Fehri. Un Sami Fehri en vacances (dans un pays lointain) à distance du bruit et des coins habituels des animateurs, journalistes et hommes de culture
RuSpInA- Platine
Re: à propos d'un nouveau..... (star ou film ou évenement)
c typiquement tunisienRuSpInA a écrit:
Ce qui n’a pas été dit, c’est que la télé tunisienne n’a pas acheté ou financé la production (contrairement à ses autres émissions), mais les diffuse sans avoir déboursé un millime. En contrepartie, et pour se financer, Cactus récolte les recettes des spots publicitaires diffusés pendant, juste avant et juste après le feuilleton.
mezri- Platine
UN FILM A NE PAS RATER DE NOTRE COMBATTANT SUPREME
Thalathoun
Réalisé par Fadhel Jaziri avec Ali Jaziri, Walid Nahdi, Maher El Hafidhi, Jawhar Basti, Ghanem Zrelli, Ali Maher, Yadh Béji, Riadh Sghaïer, Tahar Aïssa, Rami Haffana, Mohamed Kouka, Aïssa Harrath, Moez Mrabet, Anissa Daoud, Bahram El Aloui, Oubaïd Jemaï...
Synopsis :
Ce film relate le combat de trois jeunes amis, qui sont devenus de véritables mythes dans la société tunisienne: Mhamed Ali El Hammi, fondateur de la première organisation ouvrière autochtone ; son cousin Tahar Hadded, militant opiniâtre de la liberté et des droits de l’homme, précurseur du Code du Statut Personnel, qui, par ses écrits, a invité l’ensemble du monde musulman à réformer la condition de la Femme dans la société ; et Belgacem Chebbi, qui a renouvelé la poésie, réfléchi à la posture du poète et à son engagement et instauré un rapport nouveau à la langue. Tous trois connurent, dans l’indifférence générale, un destin tragique. Ce film, dont les évènements se déroulent entre 1924 et 1934, dévoile un pan entier d’une société conservatrice, réactionnaire, insensible au renouveau, recroquevillée sur elle-même, attachée à ses privilèges qu’elle défend contre toute réforme avec une rare cruauté et un raffinement remarquable.
UN FILM A NE PAS MANQUER, il parle de notre combattant à l'age de 30 ans,fadhel jaziri a finalement obtenu le visa pour son film apres 10 ans d'attente, actuellement dans les salles du cinema a tunis jusqu'au 27 novembre
Réalisé par Fadhel Jaziri avec Ali Jaziri, Walid Nahdi, Maher El Hafidhi, Jawhar Basti, Ghanem Zrelli, Ali Maher, Yadh Béji, Riadh Sghaïer, Tahar Aïssa, Rami Haffana, Mohamed Kouka, Aïssa Harrath, Moez Mrabet, Anissa Daoud, Bahram El Aloui, Oubaïd Jemaï...
Synopsis :
Ce film relate le combat de trois jeunes amis, qui sont devenus de véritables mythes dans la société tunisienne: Mhamed Ali El Hammi, fondateur de la première organisation ouvrière autochtone ; son cousin Tahar Hadded, militant opiniâtre de la liberté et des droits de l’homme, précurseur du Code du Statut Personnel, qui, par ses écrits, a invité l’ensemble du monde musulman à réformer la condition de la Femme dans la société ; et Belgacem Chebbi, qui a renouvelé la poésie, réfléchi à la posture du poète et à son engagement et instauré un rapport nouveau à la langue. Tous trois connurent, dans l’indifférence générale, un destin tragique. Ce film, dont les évènements se déroulent entre 1924 et 1934, dévoile un pan entier d’une société conservatrice, réactionnaire, insensible au renouveau, recroquevillée sur elle-même, attachée à ses privilèges qu’elle défend contre toute réforme avec une rare cruauté et un raffinement remarquable.
UN FILM A NE PAS MANQUER, il parle de notre combattant à l'age de 30 ans,fadhel jaziri a finalement obtenu le visa pour son film apres 10 ans d'attente, actuellement dans les salles du cinema a tunis jusqu'au 27 novembre
RuSpInA- Platine
Re: à propos d'un nouveau..... (star ou film ou évenement)
ah ça c'est une bonne nouvelle
elmestiria- Membre
Feuilletons turques
ils sont devenus un véritable phénomènes de la société arabe, ces feuilleton ont conquit toutes les chaines,le nombre de touristes arabes visitant la métropole turque est passé, cette année, de 30.000 à 100.000,principalement grâce à l'image véhiculée par les épisodes de la série de noor, on passe de l'epidémie des feuilleton mexicains à ceux turques!!
est ce que cette culture, est compatible avec la notre?? personellement j'en ai vu aucun episode juger, mais je me demande qu'est ce qui pourrait etre aussi attractif
depuis 2006, date de la première acquisition par la chaîne arabe "MBC" des droits de diffusion du premier feuilleton turc, les affaires ont tellement marché qu'un contrat a été signé récemment entre les producteurs et la chaîne saoudienne qui s'engage à acquérir les droits de diffusion de toutes les productions turques durant les trois prochaines années.
est ce que cette culture, est compatible avec la notre?? personellement j'en ai vu aucun episode juger, mais je me demande qu'est ce qui pourrait etre aussi attractif
depuis 2006, date de la première acquisition par la chaîne arabe "MBC" des droits de diffusion du premier feuilleton turc, les affaires ont tellement marché qu'un contrat a été signé récemment entre les producteurs et la chaîne saoudienne qui s'engage à acquérir les droits de diffusion de toutes les productions turques durant les trois prochaines années.
RuSpInA- Platine
eli mal7a9ech 3la belgacem yakhlatchi 3la 3eljeya!!!
bonne et mauvaise nouvelle peut etre deja entendu, une autre preuve de l'augmentation phénoménale du nivo de vie en tunisie, le dinar ma3adech ijib chay
apres la disparition du billet de de 5 dinars voici bientot un billet de banque de 50 dinars
apres la disparition du billet de de 5 dinars voici bientot un billet de banque de 50 dinars
La Banque Centrale de Tunisie se prépare à mettre en circulation un billet de banque d’une valeur de 50 dinars.
L’annonce a déjà été publiée dans le Journal Officiel de la République Tunisienne et on se prépare à le mettre en circulation au cours du premier semestre 2009.
A terme, ce billet devra remplacer celui de 30 dinars, appelé à disparaître. La Banque Centrale de Tunisie serait en train de faire écouler ses stocks neufs de billets de 30 dinars et n’envisagerait plus de remettre en circulation les billets usagés.
L’annonce a déjà été publiée dans le Journal Officiel de la République Tunisienne et on se prépare à le mettre en circulation au cours du premier semestre 2009.
A terme, ce billet devra remplacer celui de 30 dinars, appelé à disparaître. La Banque Centrale de Tunisie serait en train de faire écouler ses stocks neufs de billets de 30 dinars et n’envisagerait plus de remettre en circulation les billets usagés.
autrement dit un zaweli twelli chahritou zouz war9at!!!!!!!
rabi i9adar el khir oubarra
RuSpInA- Platine
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