Abou Iyadh est le chef d'Al-Qaïda en Tunisie, estime Habib Ellouze
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Abou Iyadh est le chef d'Al-Qaïda en Tunisie, estime Habib Ellouze
«Les organisations salafistes, notamment Ansar Al-Chariâ en Tunisie, sont un prolongement d'Al-Qaïda. Ces organisations sont en vérité Al-Qaïda à la tunisienne», a déclaré Habib Ellouze, élu d'Ennahdha à l'Assemblée nationale constituante (Anc).
M. Ellouze qualifie ces organisations de «diaboliques», assurant qu'Ennahdha ne partage pas leur idéologie.
«Nous sommes différents de ces organisations diaboliques, comme Ansar Al Chariâ que nous considérons comme un prolongement d'Al-Qaïda», a-t-il accusé dans une interview publiée aujourd'hui par le quotidien arabophone ''Al-Maghreb''.
M. Ellouze nie, par ailleurs, avoir rencontré Abou Iyadh, chef d'Ansar Al Chariâ, en présence du ministre des Affaires religieuses Noureddine Khademi, même s'il avoue avoir a eu souvent des contacts avec le chef salafiste jihadiste.
«Oui, il m'est arrivé de discuter avec lui sur les valeurs de l'islam alors qu'on était en prison. Je l'ai croisé aussi dans la rue. Je l'ai rencontré au domicile de l'un de ses partisans. On s'est parlé aussi au téléphone et je confirme avoir des contacts avec tous les musulmans de diverses sensibilités, et j'estime que je ne parle pas à des sionistes mais à des musulmans, et je reste ouvert aux chiites, aux nationalistes, aux salafistes», a notamment souligné M. Ellouze. Pour justifier ses apparitions fréquentes aux côtés d'islamistes radicaux de la trempe d'Abou Iyadh.[ kapitalis.com ]
M. Ellouze qualifie ces organisations de «diaboliques», assurant qu'Ennahdha ne partage pas leur idéologie.
«Nous sommes différents de ces organisations diaboliques, comme Ansar Al Chariâ que nous considérons comme un prolongement d'Al-Qaïda», a-t-il accusé dans une interview publiée aujourd'hui par le quotidien arabophone ''Al-Maghreb''.
M. Ellouze nie, par ailleurs, avoir rencontré Abou Iyadh, chef d'Ansar Al Chariâ, en présence du ministre des Affaires religieuses Noureddine Khademi, même s'il avoue avoir a eu souvent des contacts avec le chef salafiste jihadiste.
«Oui, il m'est arrivé de discuter avec lui sur les valeurs de l'islam alors qu'on était en prison. Je l'ai croisé aussi dans la rue. Je l'ai rencontré au domicile de l'un de ses partisans. On s'est parlé aussi au téléphone et je confirme avoir des contacts avec tous les musulmans de diverses sensibilités, et j'estime que je ne parle pas à des sionistes mais à des musulmans, et je reste ouvert aux chiites, aux nationalistes, aux salafistes», a notamment souligné M. Ellouze. Pour justifier ses apparitions fréquentes aux côtés d'islamistes radicaux de la trempe d'Abou Iyadh.[ kapitalis.com ]
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