Decouverte
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Decouverte
Deux géants de plus
Des chasseurs de dinosaures ont découvert les restes fossilisés de deux nouvelles espèces de dinosaures géants qui vivaient il y a plus de 100 millions d’années.
’est dans le désert marocain, près de la frontière algérienne, qu’une équipe de paléontologues a exhumé les restes fossilisés d’un bec de ptérosaure (un dinosaure volant) et un os de plus d’un mètre de long provenant d’un sauropode, une famille de dinosaures herbivores.
Les premières analyses, réalisées sur place, indiquent qu’il s’agit vraisemblablement de deux nouvelles espèces. Les restes de ptérosaures sont particulièrement rares, leurs os adaptés au vol étant légers et fragiles, ils ne se conservent pas bien. « Tomber sur un bec » représente donc une importante découverte.
De même, dans cette région désertique du Maroc, les sauropodes sont tout aussi rares. Selon les premières estimations, l’os découvert appartenait sans doute à un spécimen de près de 20 mètres de long, loin des 36 mètres de l’Argentinosaurus, le plus grand des sauropodes. Le transport de l’os en 4x4, à travers le désert et les montagnes de l’Atlas, a été plus que rocambolesque aux dires de l’expédition.
Dans les prochains mois, les deux fossiles maintenant en sureté seront analysés afin de confirmer qu’ils représentent bien les restes de deux nouvelles espèces. Ils seront ensuite exposés au Maroc.
J .I.
Sciences-et-Avenir.com
17/12/2008
Des chasseurs de dinosaures ont découvert les restes fossilisés de deux nouvelles espèces de dinosaures géants qui vivaient il y a plus de 100 millions d’années.
’est dans le désert marocain, près de la frontière algérienne, qu’une équipe de paléontologues a exhumé les restes fossilisés d’un bec de ptérosaure (un dinosaure volant) et un os de plus d’un mètre de long provenant d’un sauropode, une famille de dinosaures herbivores.
Les premières analyses, réalisées sur place, indiquent qu’il s’agit vraisemblablement de deux nouvelles espèces. Les restes de ptérosaures sont particulièrement rares, leurs os adaptés au vol étant légers et fragiles, ils ne se conservent pas bien. « Tomber sur un bec » représente donc une importante découverte.
De même, dans cette région désertique du Maroc, les sauropodes sont tout aussi rares. Selon les premières estimations, l’os découvert appartenait sans doute à un spécimen de près de 20 mètres de long, loin des 36 mètres de l’Argentinosaurus, le plus grand des sauropodes. Le transport de l’os en 4x4, à travers le désert et les montagnes de l’Atlas, a été plus que rocambolesque aux dires de l’expédition.
Dans les prochains mois, les deux fossiles maintenant en sureté seront analysés afin de confirmer qu’ils représentent bien les restes de deux nouvelles espèces. Ils seront ensuite exposés au Maroc.
J .I.
Sciences-et-Avenir.com
17/12/2008
Mestiri YSL- Argent
Re: Decouverte
De l’eau dans l’Univers primitif
Grâce au radiotélescope Effelsberg, des astronomes ont détecté la présence d’eau à plus de 11 milliards d’années lumière de la terre. Un record riche en enseignements sur les débuts de l’Univers.
De la vapeur d’eau a été repérée au cœur du quasar MG J0414 situé à 11.1 milliards d’années lumière de la Terre ce qui correspond à une époque où l’univers n’avait qu’un cinquième de son âge actuel. Les quasars sont des galaxies lointaines dont le noyau est extrêmement lumineux et énergétique.
La vapeur d’eau se trouve, selon les astrophysiciens, dans le nuage de poussières et de gaz qui alimente le trou noir supermassif logé au centre du quasar. Elle n’a pu être détectée qu’en raison de conditions d’observations exceptionnelles. Une galaxie plus proche, située dans le même axe, a en effet servi de lentille gravitationnelle et facilité l’observation du quasar.
Ce phénomène de lentille gravitationnelle, se produit lorsqu’un objet très massif (une galaxie ou un trou noir) se trouve entre un observateur et une source « lumineuse » lointaine. La masse de l’objet crée un fort champ gravitationnel, qui aura comme effet de faire dévier et d’amplifier les rayons lumineux qui passeront près de lui.
Dans le cas de MG J0414, les astronomes ont ainsi disposé de quatre images distinctes du quasar. Sans cette lentille, au lieu des quatorze heures d’observation nécessaires à cette découverte, il aurait fallu réaliser 580 jours d’observation continue pour obtenir le même résultat. Le compte-rendu de ces travaux est publié dans l’édition du 18 décembre de la revue Nature.
C’est la première fois qu’un tel nuage de gaz dense est observé dans les premiers instants de l'Univers. Cela prouve que les conditions nécessaires à la formation de molécules d’eau existaient 2.5 milliards d’années après le Big-Bang.
J .I.
Sciences-et-Avenir.com
18/12/2008
Grâce au radiotélescope Effelsberg, des astronomes ont détecté la présence d’eau à plus de 11 milliards d’années lumière de la terre. Un record riche en enseignements sur les débuts de l’Univers.
De la vapeur d’eau a été repérée au cœur du quasar MG J0414 situé à 11.1 milliards d’années lumière de la Terre ce qui correspond à une époque où l’univers n’avait qu’un cinquième de son âge actuel. Les quasars sont des galaxies lointaines dont le noyau est extrêmement lumineux et énergétique.
La vapeur d’eau se trouve, selon les astrophysiciens, dans le nuage de poussières et de gaz qui alimente le trou noir supermassif logé au centre du quasar. Elle n’a pu être détectée qu’en raison de conditions d’observations exceptionnelles. Une galaxie plus proche, située dans le même axe, a en effet servi de lentille gravitationnelle et facilité l’observation du quasar.
Ce phénomène de lentille gravitationnelle, se produit lorsqu’un objet très massif (une galaxie ou un trou noir) se trouve entre un observateur et une source « lumineuse » lointaine. La masse de l’objet crée un fort champ gravitationnel, qui aura comme effet de faire dévier et d’amplifier les rayons lumineux qui passeront près de lui.
Dans le cas de MG J0414, les astronomes ont ainsi disposé de quatre images distinctes du quasar. Sans cette lentille, au lieu des quatorze heures d’observation nécessaires à cette découverte, il aurait fallu réaliser 580 jours d’observation continue pour obtenir le même résultat. Le compte-rendu de ces travaux est publié dans l’édition du 18 décembre de la revue Nature.
C’est la première fois qu’un tel nuage de gaz dense est observé dans les premiers instants de l'Univers. Cela prouve que les conditions nécessaires à la formation de molécules d’eau existaient 2.5 milliards d’années après le Big-Bang.
J .I.
Sciences-et-Avenir.com
18/12/2008
Mestiri YSL- Argent
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