L’extrémisme à l’université «Non pasaran»
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L’extrémisme à l’université «Non pasaran»
«Ce qui est arrivé dans différentes universités sans aucune condamnation directe et presque dans l’ignorance des pouvoirs politiques est un sacrilège. Nos institutions universitaires n’ont jamais été autant maltraitées et nous ne cèderons jamais à l’intimidation des extrémistes ou à ceux qui menacent nos libertés individuelles et académiques», a dénoncé F.S, maitre assistant.
«Al jamia lil’ilm, Al Jami’i lilibada» (L’université pour le savoir, la mosquée pour la prière), «Al osthadh la youhan, y a moutatarrrif y a jaban» (On n’humilie pas un enseignant, espèce de lâche extrémiste), «Jamia Chaabia, taalim dimoucrati, karama watania» (Université populaire, enseignement démocratique et dignité nationale) «Choghl, horria, karama watania» (Emploi, liberté, dignité nationale), «Wihda, wihda watania, dhidd Al hajma Al salafia» (L’unité nationale contre l’extrémisme religieux), «Achaab yourid Al thaoura min jadid» (le peuple veut, de nouveau une révolution), «Attaassissi masrahia wil issaba hia hia (La constituante, c’est du théâtre et le gang reste le même) «Attachghil istihkak y a issabat Al sourrak» (Le travail est un droit, bande de voleur), «Ya lalAr, ya la AlAr, bismi Al Thauora Al Istiimar» (Quelle honte, l’occupation au nom de la révolution).
Ils étaient des milliers, à scander ces slogans et d’autres, manifestants dont les âges varient entre 14 et 70 ans et qui se déclarent scandalisés par la tournure que prend les choses dans les universités dédiées au savoir et devenues aujourd’hui un champ de bataille pour des courants idéologiques extrémistes.
«Al jamia lil’ilm, Al Jami’i lilibada» (L’université pour le savoir, la mosquée pour la prière), «Al osthadh la youhan, y a moutatarrrif y a jaban» (On n’humilie pas un enseignant, espèce de lâche extrémiste), «Jamia Chaabia, taalim dimoucrati, karama watania» (Université populaire, enseignement démocratique et dignité nationale) «Choghl, horria, karama watania» (Emploi, liberté, dignité nationale), «Wihda, wihda watania, dhidd Al hajma Al salafia» (L’unité nationale contre l’extrémisme religieux), «Achaab yourid Al thaoura min jadid» (le peuple veut, de nouveau une révolution), «Attaassissi masrahia wil issaba hia hia (La constituante, c’est du théâtre et le gang reste le même) «Attachghil istihkak y a issabat Al sourrak» (Le travail est un droit, bande de voleur), «Ya lalAr, ya la AlAr, bismi Al Thauora Al Istiimar» (Quelle honte, l’occupation au nom de la révolution).
Ils étaient des milliers, à scander ces slogans et d’autres, manifestants dont les âges varient entre 14 et 70 ans et qui se déclarent scandalisés par la tournure que prend les choses dans les universités dédiées au savoir et devenues aujourd’hui un champ de bataille pour des courants idéologiques extrémistes.
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