Les salifistes sont les juifs héritiers des tribus chassées par les Musulmans

Les salafistes sont d’une lâcheté infinie. Ils passent leur temps à critiquer, à combattre les Musulmans. Pour se montrer convaincants, ils deviennent agressifs. Alors qu’ils devraient s’attacher à consolider l’unité de la Communauté dont ils disent faire partie, ils cherchent l’amitié des plus lointains, des plus grands ennemis de l’Islam : les sionistes juifs. Les salafistes wahabites (les salafistes sont en réalité des wahabites c'est-à-dire soutenus et financés par l’Arabie Saoudite) sèment la discorde entre les Musulmans, entre les différentes sensibilités comme s’ils détenaient seuls la vérité alors qu’ils sont maudits à cause des obscénités et mensonges fabriqués contre les grands prophètes (P) et la Famille du Prophète Muhammad (P).

Ils s’entendent par contre très bien avec les polythéistes et les juifs. Pour eux la Palestine en général et Jérusalem en particulier appartiennent aux juifs d’Israël. Israël serait une fitna (malheur) de Dieu. C’est donc à Dieu de l’enlever. Les Palestiniens sont fautifs. Car ils devraient quitter la Palestine comme le grand Prophète (P) a quitté la Mecque. Pourtant, tout en s’attaquant à la Famille du grand Prophète (P), ils font l’éloge infinie de certains compagnons notamment Omar Ibn Al Khattab (que Dieu soit satisfait de lui) car c’était un grand conquérant.

C’est que leurs chefs cachent mal leur sionisme. Ce sont les juifs héritiers des tribus chassées par les Musulmans dans l’Arabie au temps du grand Prophète (P) à cause de leur trahison. Bientôt ils diront que le Coran est une innovation à rejeter puisque ce n’est pas le grand Prophète (P) qui l’a compilé mais les califes comme ‘Othman ibn Affan. Cette secte salafiste ne tient sur rien. C’est la puissance financière de l’Arabie saoudite grâce au pétrole, qui est la seule cause de la diffusion de telles idées dangereuses. Un chiffre : en 30 ans, 50 milliards de dollars ont été dépensés pour propager la pensée wahhabite salafiste en Egypte. Dans ce pays, on compte à peine près d’un demi-million d’adeptes de cette secte qui n’arrive pas à s’implanter dans un pays à forte tradition soufie.